...de la foire, les couteaux dans le dos du mur de Farhad Moshiri, Jean Michel Othoniel convainquant (Perrotin), à l'extrème rigueur ce disque là de Su-Mei Tse (Le Borgne) et ce sourire de circonstance d'un artiste coréen rue de Thorigny.
Ou il y en a deux, ou bien encore il y a de la Fiac dans la Fiac, soit du contemporain enfin trouvé à la Cour carrée : ambiance plutôt souriante et un rien pixelisée : 4 minutes 24.
On ne s'attendait pas à une explosion si proche de la terasse des Tuileries, quand pour l'ouverture des festivités de la Fiac, Fabien Giraud et Raphaël Siboni ont, juste derrière les arbres, fait péter un feu des tous les artifices en une seconde.
© Jonathon Cover 2009
La maîtresse de la Tour Eiffel de Michel de Broin au Luxembourg pour La Nuit blanche a fait une escapade derrière la rue Louise Weiss, près des quais d'Austerlitz.
Tous morts dans Deadline où je me pince deux fois histoire de m'attarder devant les restes d'Absalon, Gonzales-Torres, Mapplethorpe, De Kooning, Lee Byars au mieux, "Monsieur, vous n'avez pas le droit de f..." avant d'en traverser les descendants chez Napoléon, en face: "... tapette, parce que je suçais des bites, j'ai le droit de sucer des bites..." Finie la cohue des jolis printemps, place à l'entre soi notarial à l'étage pas bondé, avec pour réjouissance le gâteau tiède et son verre de jus de fraise et allez, un Ryan Gander ici tagué, parce que sinon c'est sans surprise, ça clapote mou et gagatte à (en) fond la caisse.
...dit Benoît Porcher, en invitant le visiteur à s'assoir sur le champignon qui fait office de coussin au fond du tronc-fauteuil de Piero Giraldi.
Sarah Lucas (Sadie Coles, Londres), un point c'est tout.
En virtuose du poil, Carl d'Alvia inaugurait Cry Happy (Van Der Stegen).
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