Boulevard Voltaire
Il y a eu tellement de gens qui se sont interposés pour protéger leurs amis et même des inconnus.
Eagles of Death Metal in Vice
mensonges, fantasmes et délires de Judith Butler sur les attentats à Paris.
12 millions de franciliens sont prèts à témoigner contre les affabulations de cette vieille conne que même le torchon semble releguer loin loin dans un coin de son site..
Aujourd'hui encore et sous une pluie battante, ils se réunissent et ne cessent de se recueillir sur les lieux du crime.
Parisiens, une semaine après
devant le Carillon et le Petit Cambodge
Place de la République
devant le Bataclan Boulevard Richard Lenoir
c'est la mission assignée à bétonsalon qui, pour justifier ses émoluments, nous a pondu une revue (triste) où trône un pavé qui cite allègrement Game of Thrones - bah tiens et demain House of Cards tant que j'y suis - sans doute pour faire moderne et attirer sans trop d'imagination tous ces jeunes gens qui traînent sur l'esplanade de l'université et négligent manifestement le lieu en question juste en face. Il(elle)s se sont pourtant fendu(e)s d'une fourmilière en activité - le zoo de Vincennes n'est pas très loin - d'un film sur une usine égyptienne - on vous dit qu'on fait dans le social tiers mondant - et de deux OUI deux petits robots - minables certes vu qu'ils ne font que rouler - mais fabriqués par le(la) rare étudiant(e) du coin qui a bien voulu perdre son temps à coopérer. Mais il faut reconnaître qu'il y a pire: au Palais de Tokyo, car si tout ce qui tourne autour du sympathique John Giorno est bien répétitif et un tantinet poussif, la salle bouddhiste est très jolie même si on a l'impression qu'elle a été téléportée directe du Musée Guimet à côté, et si malgré tout on retient 2 des installations vidéos de Ragnar Kjartansson, alors le reste, mais tout le reste, c'est le grand grand rien gardé par une demi douzaine de gardiens.
on se souvient qu'il y a quelques semaines on s'étonnait de l'exclusion notable de certaines galeries parisiennes de la Fiac, malgré leurs si louables Zéfforts...
Parmi elles, Praz-Delavallade qui fut avec Jennifer Flay (actuelle directrice de la Fiac) l'un des galeristes de la rue Louise Weiss et Laurent Godin qui a dans sa galerie 2 artistes défendus à l'époque (les années 90) par la même Jennifer Flay: Alain Séchas et Claude Closky (prix Marcel Duchamp)... à lire ça, on a un drôle de goût dans la bouche et c'est pas bon.
Une raison peut-être à cet absurde jeu de massacre: quand on vise les 0,1%, il faut exclure ceux qui s'adressent aux 1%. D'où l'indifférence quasi générale.
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