de vent qui fait la boucle naturelle de l'installation de Michael Snow (Campoli Presti - jusqu'au 29) semble, du jardin, pousser le rideau. Mais quand celui-ci revient en place, c'est pour mieux s'écraser contre une vitre. Je n'ai toujours pas percé le charme.
de vent qui fait la boucle naturelle de l'installation de Michael Snow (Campoli Presti - jusqu'au 29) semble, du jardin, pousser le rideau. Mais quand celui-ci revient en place, c'est pour mieux s'écraser contre une vitre. Je n'ai toujours pas percé le charme.
à la ramasse: «Peut-être que les acteurs noirs ne méritaient pas d'être dans la dernière ligne droite» Ch.Rampling à propos des oscars
à revoir : "Painter", 1995, Paul McCarthy -
ces gros pixels de Thomas Hirschhorn (Crousel) qui floutent une partie de la photo.
"On s'y emploie" répond Alain Sechas à un non moins convenu "il faut de l'énergie" - il prépare ses chats au MAM Paris pour le 11 février - dans l'entrée à deux pas de Claude Lévêque qui poirotte derrière, éssouflé par le froid dont il sort à peine. Mais outre ce froid revenu c'est l'obligé du truc qui m'a frappé : qu'ils se sentent professionnellement contraints d'assister à ce type de rite. Piketty parle de retour de la rente et ce vernissage sentait bon sa petite convention corsetée façon 19ème, image renforcée par l'épidémie guibolles de serin des mecs dans la rue juste après. L'expo? Steve Mc Queen (Goodman): ce mec ferait mieux de faire du cinéma... L'affiche, c'est bien pour un tapis de bain.
pimpant de Mars , nous apprenons dans le froid glacé d'un hiver hostile, à nous suturer une plaie à la gorge ( Leonardo Di Caprio) en y faisant sauter la poudre , The Revenant , l'excellent, où on peut observer l'épuisement et le stress titubant des indiens.
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