of power comes as no surprise" il y a une distance un rien méprisante voire hautaine qu'y prend là Jenny Holzer, par le "comes as".
"L'abus de pouvoir, ça, ça m'étonne pas" ou "L'abus de pouvoir, c'est d'un ordinaire" c'est trop. "L'abus de pouvoir est bien ordinaire" n'est pas mal.
Je préfère "l'abus de pouvoir, c'est assez ordinaire".
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