Les crépitements sont presque d'un feu de bois et accompagnent les petites choses néonesques de Jill Magid éparpillées chez Yvon Lambert, ça fait chaud quand on s'égare dans les panneaux de Lawrence Weiner : "Briller par... son absence". Mais la surprise est chez Marianne Goodman avec l'expo de Tino Seghal, intitulée Situation et comme c'est une surprise: motus!
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