à l'avenir 2049-2090...
Besson et son Valérian: arbitraire et malveillance des débineurs peineux.
Cara Delevingne et Dane DeHaan s'en sortent très bien et le scénario n'est pas plus basique que n'importe quel Star Wars (dont le vaisseau est d'ailleurs pompé sur celui de Valérian) ou Matrix (superbe au demeurant) récent.
Si ça commence comme Avatar à la plage, les créatures ne ressemblent pas à des schtroumphs sans bonnet, ça les rend un peu plus sexe.
La variété des xénomorphes, un vrai bonheur - dans les vernissages, j'en ai croisé de plus laid.
C'est ce qu'on apprend dans les musées, les galeries et les centres d'art: rendre les films totalement invisibles en les exposant dans des lieux éclairés par la lumière du jour, formidable: Les méga-riches achètent et font n'importe quoi .
à la ramasse: «Peut-être que les acteurs noirs ne méritaient pas d'être dans la dernière ligne droite» Ch.Rampling à propos des oscars
à revoir : "Painter", 1995, Paul McCarthy -
pimpant de Mars , nous apprenons dans le froid glacé d'un hiver hostile, à nous suturer une plaie à la gorge ( Leonardo Di Caprio) en y faisant sauter la poudre , The Revenant , l'excellent, où on peut observer l'épuisement et le stress titubant des indiens.
la coupe Falconettienne (la jeanne d'arc de Dreyer) de Charlize Theron et les saccades Keantoniennes (Buster - Le Mécano de la « General ») et Eisenstienistes (Sergueï - Potemkin) font de Fury Road le plus beau film muet mais parlant, en couleur.
et c'est pas moi qu'il dit.
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